Affaire Sophie Toscan du Plantier : 15 crimes contre la vérité
La mort de Sophie le 23 décembre 1996 résulte d’un crime.
Le traitement de l’affaire a été scandaleusement entaché d’une longue suite de crimes contre la vérité
- l’inertie quasi-totale des appareils judiciaire et policier français des premières heures à la fin de 2007, particulièrement l’absence complète des mesures prises habituellement (mise sous séquestre, appels téléphoniques, ordinateur …) dès la découverte d’un crime, peu importe le lieu où il se situe
 - l’arrivée plus que tardive (plus de 30h) du médecin légiste sur la scène: impossibilité de connaître l’heure exacte de la mort, et même de connaître la cause précise de la mort
 - l’absence totale, durant plus de 12 ans, d’information officielle délivrée à la famille de la part des autorités irlandaises 
 - la non réalisation, en Irlande,  de reconstitution ou de confrontations, obérant ainsi gravement la recherche de la vérité et protégeant le mensonge et l’omission
 - le refus par M. Farrell, témoin principal, de dévoiler l’identité de son compagnon durant la nuit du 22 au 23 décembre 1996, et l’acceptation institutionnelle d’un tel refus
 - les mensonges, omissions et contradictions  de I. Bailey sur la connaissance précoce d’éléments relatifs à l’assassinat de Sophie
 - les mensonges de I. Bailey concernant sa connaissance de Sophie
 - les mensonges de I. Bailey concernant la cause de sa blessure au front et des écorchures sur le dos de ses mains et sur ses avant-bras, toutes apparues le 23 décembre
 - les mensonges et contradictions de I. Bailey et de J. Thomas, sa compagne, sur leur emploi du temps du lundi matin 23 décembre 1996
 - la disparition des 3 agendas (95-96-97) de Sophie qu’elle avait amenés en Irlande
 - le refus par le(s) Director(s) of Public Prosecutions (DPP) de prendre en compte les témoignages à charge contre I. Bailey, particulièrement ceux, publics, lors du procès intenté en 2003 par I. Bailey contre 7 journaux irlandais et anglais
 - la rétractation extrêmement tardive et douteuse de M. Farrell en 2005,  9 ans après le meurtre, et après avoir confirmé publiquement en 2003 son témoignage à charge devant un tribunal Irlandais
 - la divulgation par le(s) Director(s) of Public Prosecutions d’un document profondément biaisé en faveur de l’innocence de I Bailey et à charge contre l’enquête de la Garda, une violation extrêmement grave du secret de l’instruction
 - les motifs fallacieux avancés par la Cour Suprême d’Irlande pour justifier sa décision du 6 mars 2012 de rejeter le Mandat d’Arrêt Européen 
 - la logique d’un système judiciaire obnubilé par une démarche accusatoire aux dépens de la recherche de la vérité
 
Tous les détails à l’appui de ces 15 assertions se trouvent dans le livre noir « L’affaire Sophie Toscan du Plantier, un déni de justice », paru le 30 janvier 2014 aux éditions Max Milo : ici ou là.
